Quelles sont les pratiques de pêche qui tuent nos océans ?
Quelles sont les pratiques de pêche qui tuent nos océans ?

Quelles sont les pratiques de pêche qui tuent nos océans ?

Nombreuses sont les actions humaines qui contribuent à la destruction de l’écosystème environnemental. Parmi ces actions, il y a les différentes pratiques de pêche qui affectent principalement la vie dans nos océans. Découvrons dans cet article ces diverses pratiques.

La pêche avec les super-navires

Parmi les pratiques les plus dévastatrices de ces derniers temps, l’introduction de super-navires alimentés par un chapelet de navires plus petits utilisant de longues lignes et des filets pour attraper les poissons. Équipés comme des usines, ils les transforment rapidement et les congèlent dans des emballages prêts pour les marchés mondiaux. L’impact sur les océans est énorme, car des bancs entiers sont souvent visés. Les filets capturent involontairement des tortues, des dauphins, des requins et d’autres prédateurs qui suivent les bancs de poissons. Le résultat final est une diminution considérable de la vie océanique.

Cependant, la pêche à la palangre et les filets ne sont pas les seuls à causer la mort des océans, car d’autres récits font état de pratiques non fondées.

L’élevage de saumons dans les rivières

L’une d’entre elles concerne l’élevage de saumons dans les embouchures des rivières. Les déchets accumulés par les animaux n’ont aucun moyen de s’échapper, car les fermes sont situées trop près des côtes pour que la nature puisse faire son travail. Les dommages causés aux poissons et aux régions environnantes posent de gros problèmes. Les pêcheurs locaux de ces régions constatent une baisse considérable du nombre de poissons pour assurer leur subsistance.

La pollution due à ces pratiques n’affecte pas que des zones locales. Le manque d’intérêt pour les océans sera dévastateur pour l’approvisionnement alimentaire à long terme. Associés au réchauffement de la planète et au changement climatique, les dommages causés à l’environnement ne sont peut-être pas encore ressentis par les habitants de la terre. Les tempêtes massives, les cyclones, la grêle, la sécheresse, les incendies et les fluctuations de température ne sont que quelques-uns des phénomènes qui affectent les cultures vivrières dans le monde.

En définitive, l’homme se retrouve aujourd’hui incapable d’arrêter la destruction de la planète, car les pratiques comportementales ne sont pas réglementées. Cependant, en continuant ainsi gardons à l’esprit que personne ne sera épargné.